LA DETTE ?L’ARNAQUE DU SIECLE

Je suis de droite, pour le PS, je suis raciste, fasciste, homophobe, réactionnai

Je remercie tous mes amis qui osent encore me fréquenter malgré tous mes défauts…

  • Je suis né blanc, ce qui fait de moi un raciste.
  • Je ne vote pas à gauche, ce qui fait de moi un fasciste.
  • Je suis hétéro, ce qui fait de moi un homophobe.
  • Je ne suis pas syndiqué, ce qui fait de moi un traître à la classe ouvrière et un allié du patronat.
  • Je suis de confession chrétienne, ce qui fait de moi un chien d’infidèle.
  • J’ai plus de 60 ans et je suis retraité, ce qui fait de moi un vieux con !
  • Je réfléchis, sans avaler tout ce que la presse me dicte, ce qui fait de moi un réactionnaire.
  • Je tiens à mon identité et à ma culture, ce qui fait de moi un xénophobe.
  • J’aimerais vivre en sécurité et voir les délinquants en prison, ce qui fait de moi un gestapiste.
  • Je pense que chacun doit être récompensé en fonction de son mérite, ce qui fait de

En dénonçant « les arguties juridiques », ce que propose implicitement Nicolas Sarkozy est une révolution qui passe par une révision constitutionnelle mettant en cause la déclaration des droits de l’homme de 1789. Rien de moins…

Le chef de Républicains remet en cause l’Etat de droit BENOIT TESSIER / POOL / AFPLe chef de Républicains remet en cause l’Etat de droit BENOIT TESSIER / POOL / AFP

« Les arguties juridiques » dénoncées par Nicolas Sarkozy après l’assassinat du prêtre de Saint-Etienne-du-Rouvray ne sont rien moins que des règles d’ordre constitutionnel. A ce titre, les mots choisis par le président des Républicains sont à la fois dangereux et indécents. On ne les retrouve pas dans son interview au Monde et c’est heureux. Les propositions avancées dans cet entretien précisent les intentions d’un ancien chef de l’Etat qui aspire à le redevenir. Ce qui est logique et normal dans un débat démocratique digne de ce nom, même si le projet qu’elles dessinent attentent, en bloc et en détails, à ce qui en constitue le fondement.

Les institutions de la Cinquième République ne sont pas un bloc intangible. Elles peuvent être modifiées. Elles l’ont été à de nombreuses reprises. François Hollande avait d’ailleurs souhaité qu’elles le soient à nouveau au lendemain des attentats du 13 novembre 2015 sur l’état d’urgence et la déchéance de nationalité. Ce n’est pas parce qu’il a échoué dans cette tentative sous les tirs croisés d’une partie de la gauche et d’une fraction de la droite que toute tentative de révision doit être exclue par principe, dans un avenir proche.

De ce point de vue, Laurent Wauquiez est plus explicite et plus franc que Nicolas Sarkozy quand il suggère aujourd’hui, dans Le Figaro, d’«adapter» notre loi fondamentale aux exigences de la lutte anti-terroriste telle qu’il la conçoit. Sur la présomption d’innocence, via le sort réservé aux fichés S, la droite ne pourra pas avancer demain, si elle revient au pouvoir, qu’en modifiant le préambule de la Constitution qui se réfère explicitement à la déclaration des droits de l’homme de 1789. Rien ne le lui interdit à condition, bien sûr que cette révolution juridique soit validée par le peuple français, selon les procédures qui sont celles de notre démocratie. En l’occurrence, on imagine mal que tout cela ne passe pas par un référendum, en bonne et due forme.

Le jeu de l’émotion dans un calcul politique

Là est la vraie limite de cette stratégie du «toujours plus» qui sert de boussole à la droite depuis quelques semaines. Dans un premier temps, au lendemain de l’attentat de Nice, elle n’a eu pour seul objectif que de casser les réflexes d’unité et de rassemblement qui s’étaient manifestés dans la rue en janvier 2015, après Charlie et l’Hypercacher, puis, en novembre, au congrès de Versailles, après la réplique du Bataclan. Pour parvenir à ses fins, elle a utilisé toutes les armes de la polémique, fussent-elles les plus basses, face à un pouvoir d’autant plus faible qu’il ne dispose plus de bases politique suffisantes pour lui assurer une crédibilité minimale, au sein d’une opinion taraudée par la peur.

Christian Estrosi et, sur un mode mineur, Éric Ciotti, ont été les artisans de cette politique insensée, dictée par le court-terme, qui vise à rendre tout gouvernement, par nature, non pas responsable mais coupable de la moindre action terroriste sur le sol national. Sans doute fallait-il des hommes de sac et de cordes pour en arriver là. Mais comment ne pas voir qu’on ne peut à la fois admettre que le pays est «en guerre» pour longtemps tout en s’en prenant par principe et à la moindre occasion à l’action de ceux qui sont chargés de la mener?

Sur de telles bases, on souhaite du plaisir à quiconque prétend aux plus hautes fonctions de l’Etat alors que chacun sait bien que face au terrorisme le risque zéro, hélas, n’existe pas. Personne n’a jamais contesté qu’on puisse faire mieux dans ce combat-là. Mais ce n’est pas faire preuve d’on ne sait quel «fatalisme» que de dire aux Français qu’il ne sera pas gagné de sitôt. Le profil du tueur de Nice montre en tous cas combien il est illusoire de tout prévoir et de tout surveiller. Si la droite s’est saisie de ce drame pour faire le procès du gouvernement, c’est d’abord par calcul. Derrière l’émotion du moment, il y avait une intention déclinée de sang-froid.

On remarquera au passage que les leaders les plus «modérés» de la droite n’ont pas su résister à cette stratégie de délégitimation systématique, dictée par des enjeux liés à la future primaire de l’opposition. Alain Juppé a ainsi montré sa faible capacité de résistance aux ultras de son camp. Le maire de Bordeaux est peut-être «droit dans ses bottes» mais celles-ci sont en caoutchouc. S’il devient un jour Président, ce n’est pas ainsi chaussé qu’il parviendra à ne pas être, à son tour, un de ces «petits bouchons» ballotés par les frondeurs de tous poils.

Le chef des «Républicains» s’attaque aux traditions … républicaines

Pour sortir de ce piège qu’elle a elle-même creusée, il fallait donc que la droite, par la voix de ceux qui, dans ses rangs, conservent un sens minimum de l’Etat, sache trouver autre chose que des coups de dagues destinés à faire tomber, un jour le ministre de l’Intérieur, un autre le Premier ministre, et à interrompre de facto le mandat du Président, neuf mois avant son terme. Nicolas Sarkozy s’y emploie à sa façon. A chaque attentat, depuis un an et demi, il procède de la sorte.

En janvier 2015, il n’avait rien trouvé mieux que de proposer une révision… du régime d’heures supplémentaires des policiers. En novembre 2015, il avait expliqué, au grand dam d’Alain Juppé, que «solidarité» ne signifiait pas «unité» avant de suggérer, face à un Président attentif, l’armement permanent des forces de sécurité ainsi que la déchéance de nationalité. Cette fois-ci, il s’engage sur un terrain qu’il avait jusque-là évité, en dépit des pressions de certains de ses proches, tel Laurent Wauquiez.

Dans l’arsenal sarkozyste, figurent désormais des mesures qui visent à créer, sur le plan juridique et pratique, ce qui ressemble trait pour trait à un Guantanamo à la française. Ce faisant, il répond aux injonctions d’une partie de la droite qui n’hésite plus à parler de la nécessaire «israélisation» de nos politiques anti-terroristes, sans d’ailleurs voir que ni les Etats-Unis, ni même Israël, n’ont su dresser les barrages qui les mettent à l’abri du moindre attentat. Ces politiques ne sont pas en soi illégitimes. On peut les défendre dans le cadre d’un débat politique démocratique. De même qu’on peut les combattre en notant qu’elles remettent en cause ce qui constitue le cœur de nos traditions judiciaires et, au-delà, de nos traditions républicaines.

Il n’est pas anodin que les révisions que ces projets impliquent renvoient à la déclaration des droits de l’homme de 1789. Si Nicolas Sarkozy préfère, pour une fois, ne pas aller jusqu’au bout de son raisonnement et que Laurent Wauquiez choisit d’euphémiser son propos en ne parlant que d’«adaptation» de la Constitution, n’est-ce pas aussi parce qu’ils mesurent l’ampleur du saut qu’ils proposent? «Le discours de la gauche ne correspond plus à la réalité», vient de dire le président des Républicains dans son interview au Monde. La question est maintenant de savoir si le nom de son parti est lui aussi conforme à cette réalité. Elle sera, quoiqu’il arrive, au centre de la campagne de la prochaine présidentielle et, après tout, au point où on en est, c’est très bien ainsi.

 

 

 

DIRE QUE CERTAINS CRÉTINS SOUTIENNENT ENCORE CES  MAFIEUX ……..NO COMMENT L’argent caché des syndicats Ils touchent 4 milliards par an de la collectivité pour 8 % de syndiqués. Sub…

Source : L’argent caché des syndicats

Les élections européennes vont être l’occasion de faire le point sur le sentiment des peuples face à la construction de l’Union Européenne. On sait que cette opinion s’est fortement dégradée depuis 2009, ce que montrent nombre de sondages. Le problème est particulièrement aiguë en France où, pour la première fois, le nombre d’opinions défavorables à l’Union Européenne est majoritaire.

Il convient tout d’abord de rappeler que l’Union Européenne n’est pas l’Europe, quoi qu’elle puisse le prétendre. L’Europe est une réalité géographique, une réalité politique – même et y compris dans ses conflits – et, bien entendu, elle est une réalité culturelle. Cette réalité a existé bien avant que ne naissent les premiers projets d’union ou de fédération.

L’Union européenne n’est pas l’Europe…

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La France était restée dans le peloton de tête des pays européens grâce à la politique de Nicolas Sarkozy

Publié le 18 Mai 2016
La France était restée dans le peloton de tête des pays européens grâce à la politique de Nicolas Sarkozy

Le candidat Hollande était hier matin sur Europe 1 assurait « ça va mieux ». Afin de ne plus être le seul à y croire, François Hollande est prêt à tout, notamment mentir et essayer de manipuler les Français.

Depuis quelques semaines, une ancienne musique revient sans cesse : le bilan de la majorité précédente était catastrophique. La stratégie du candidat Hollande est-elle de refaire la bataille de 2012 ? Rappelons juste que la précédente majorité a connu deux des pires crises économiques mondiales en moins de deux ans, crises dont l’existence a été niée par François Hollande et les socialistes en 2012. Pour autant, la France était restée dans le peloton de tête des pays européens grâce à la politique de Nicolas Sarkozy.

Contrairement aux propos du candidat Hollande, la France connait plus de chômeurs depuis 2012. Si le chômage a augmenté entre 2008 et 2012 en raison des crises financières mondiales à un rythme moins élevé que nos partenaires européens, il a explosé sous la présidence Hollande, à contre-courant de nos voisins. Or, ces dernières années ont été marquées par une conjoncture économique mondiale très favorable, liée au faible taux de change de l’Euro, à la baisse du prix du pétrole, et des taux d’intérêt bancaires proches de 0. Pour justifier ses allégations, François Hollande manipule les chiffres en utilisant pour son bilan catégorie de demandeurs d’emploi et additionne une seule pour Nicolas Sarkozy toutes les autres catégories. Les chiffres incontestés de la DARES montrent qu’il y a 1.095.800 demandeurs d’emploi en plus depuis 2012.

Le candidat Hollande est ainsi prêt à tout pour se faire réélire l’année prochaine :

  • Le mensonge et la manipulation par les chiffres ;
  • La méthode Coué : qui croit vraiment que la France « va mieux » ?
  • Les 5 milliards d’euros de cadeaux électoraux promis en moins de 6 mois.

Au lieu d’être obnubilé par son propre emploi, François Hollande ferait bien de se préoccuper de retrouver un travail aux millions de demandeurs d’emploi, de rétablir la paix sociale, de redresser l’autorité de l’état et de rétablir la place de leader de la France dans le monde.

Gérard CHERPION
Secrétaire nationale LR en charge du Travail et de l’Emploi
Député des Vosges

republicains.fr

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« La France n’a pas colonisé l’Algérie. ELLE L’A FONDÉE. »(Ferhat Abbas)

En cette période anniversaire de l’indépendance de l’Algérie, un rappel historique de ce que fut l’Algérie du 19 et 20° siècle est nécessaire. Je suis en accord sur la partie historique de l’arrivée des français sur le sol du Maghreb, l’Algérie en tant qu’état n’existait pas à cette époque, comme le disait Ferhat Abbas la France a créée l’Algérie, état moderne.

Tout ce qu’a fait notre pays ne mérite pas de repentance, même pour la période de « guerre d’indépendance » l’armée a répondu aux agissements des « rebelles » sans en atteindre les horreurs commises par le FLN.

J’aurai des divergences d’appréciations sur ce texte de monsieur Roland Dernbach, sur son interprétation de la fin de ce conflit et de l’octroi de l’indépendance par le général Charles de Gaulle.

Une repentance ou des excuses de Hollande seront mal interprétées par nos compatriotes, sauf bien sûr par les gauchistes et communistes qui ont durant ces évènements trahis leur pays et leurs compatriotes.

Il peut s’il le veut s’excuser de la responsabilitévde la SFIO (le parti socialiste d’alors) et de ses dirigeants, en particulier Guy Mollet et François Mitterrand, de faire face à cette situation et d’avoir mal engagé cette affaire en 1954 et à leur incapacité de lui apporter l’ombre d’une solution  !

 La France devrait, selon vos dires, Monsieur Hollande, demander pardon… vous rigolez ou quoi … !!!

Monsieur Hollande,

La France devrait, selon vos dires « … / / commencer d’abord par reconnaitre et faire repentance pour ces crimes et enfumages qu’elle a perpétrés en Algérie » ! ! !
Connaissez-vous vraiment le sujet ?

Votre propos ressemble, à s’y méprendre, à ceux tenus par un « fruit des urnes » des primaires socialistes, selon lequel il serait temps, je le cite : « que la France présente ses excuses pour les 132 ans de colonialisme en Algérie ! ! ! »

Ce monsieur, pur produit formaté dans l’une des fermes modèles de la fonction publique, …… qui avoue ne jamais lire un livre, et donc à fortiori un livre d’histoire, …… n’aura rien de plus urgent à faire après son hypothétique accession à la présidence de la République Française, que d’aller humilier notre pays en allant s’agenouiller devant un homme, …… que Pierre Messmer accusa d’avoir planifié en 1962 le massacre des harkis, …… pour lui demander pardon ! ……

PARDON DE QUOI, …… ?

Pardon d’avoir débarqué en 1830 à Sidi-Ferruch pour chasser le colonisateur ottoman qui affamait depuis plusieurs siècles les ancêtres du mafieux président algérien devant lequel il envisage de se prosterner, pillant leurs maigres biens et les réduisant à la famine et à la maladie ?

Pardon d’avoir libéré les esclaves chrétiens européens, ravis sur les bateaux croisant en Méditerranée, entassés dans des bouges pour satisfaire les bas plaisirs des potentats locaux ?

Pardon d’avoir défriché, drainé, asséché et fertilisé un sol à l’abandon depuis des siècles et d’avoir perdu à l’époque 106 « colons » sur 450, morts de maladie en Mitidja ?

Pardon d’avoir construit des villes modernes là où il n’y avait rien ?

Pardon d’avoir créé une agriculture prospère et exportatrice, alors qu’aujourd’hui l’Algérie doit importer des produits de la terre ?

Pardon d’avoir créé une industrie métallurgique là où il ne se trouvait que des cailloux ?

Pardon d’avoir construit 12 grands barrages ?

Pardon d’avoir implanté un immense réseau de postes et de télécommunication ? …… d’avoir développé l’hôtellerie et le tourisme ? …… d’avoir créé une industrie chimique, développé le gaz et l’électricité ?

Pardon d’avoir installé un réseau ferroviaire considérable et 54000 kilomètres de routes (non compris les pistes) ?

Pardon d’avoir construit 23 ports, 34 phares, 23 aéroports, …… ?
Pardon d’avoir livré des gisements de gaz et de pétrole, installations d’exploitation comprises, à un pays qui ne s’était jusque là jamais intéressé au Sahara ?

Pardon d’avoir apporté aussi la médecine, les nombreux dispensaires et hôpitaux et d’avoir permis à 2 millions d’autochtones qu’ils étaient en 1872 d’avoir 9 millions de descendants en 1962 ? …… d’avoir éradiqué la peste, le choléra, la variole, le typhus et bien d’autres joyeusetés du même acabit ?

Pardon d’avoir apporté l’enseignement ? …… ce qui fit dire à Belkacem Ibazizen, fils d’un instituteur kabyle : « La scolarisation française a fait faire aux Arabes un bon de mille ans ! » ?

ET PUIS QUOI ENCORE ?

Sur un million de Pieds Noirs, 20000 seulement étaient des « colons » dont 40% exploitaient moins de 10 hectares. Les 12000 autres (45000 en comptant leurs familles) ne représentaient que 4,5% du total de la population Pied Noir ! …… Les 95,5% restants étaient des ouvriers, des employés, des techniciens, des fonctionnaires, des commerçants, souvent bien moins payés qu’en métropole !

Si le prétendant socialiste à la magistrature suprême lisait autre chose que des fiches résumées, …… comme par exemple les livres de l’écrivain algérien Boualem Sansal, il pourrait, tout comme vous, découvrir qu’il a écrit :

« En un siècle, à force de bras, les colons ont, d’un marécage infernal, mitonné un paradis lumineux. Seul l’amour pouvait oser pareil défi, … Quarante ans est un temps honnête, ce nous semble, pour reconnaître que ces foutus colons ont plus chéri cette terre que nous, qui sommes ses enfants. »

C’est également lui qui écrivait déjà avec lucidité :
« Trente ans après l’indépendance, nous voilà ruinés, avec plus de nostalgiques que le pays comptait d’habitants et plus de rapetoux qu’il n’abritait de colons. Beaucoup d’Algériens regrettent le départ des Pieds Noirs. S’ils étaient restés, nous aurions peut-être évité cette tragédie. »

Il rejoint en cela la journaliste Malika Boussouf qui écrit également :
« Si les Pieds Noirs n’étaient pas partis en masse, l’Algérie ne serait peut-être pas dans l’état désastreux dans lequel elle se trouve. »

Dans les fiches résumées du prétendant, lui en a-t-on seulement glissé une qui lui aurait permis d’apprendre par exemple, au hasard, que :
¤ Ferhat Abbas, président de la république algérienne, du temps du G.P.R.A., avait reconnu :

« La France n’a pas colonisé l’Algérie. ELLE L’A FONDÉE. »

¤ C’est le 14 octobre 1839, et par décision du ministre de la guerre, que le nom ‘’Algérie‘’ fut attribué pour la première fois à cette partie de l’Afrique du Nord. Il n’y a jamais eu auparavant dans l’Histoire de pays ainsi nommé !

Et pour en terminer après cela, qui a dit, cher monsieur Egomis :

« Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai! Il faut dire ouvertement qu’en effet les races supérieures ont un droit vis à vis des races inférieures parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont un devoir de civiliser les races inférieures. »

Vous donnez votre langue au chat monsieur Egomis ? …… c’est l’aïeul spirituel du prétendant, …… Jules Ferry, …… au cours d’un discours tenu devant les députés le 28 juillet 1885, discours transcrit au Journal Officiel.

Quels furent les apôtres de l’extension aux « peuples inférieurs » des bienfaits civilisateurs de la France républicaine ? Réponse ………… Victor Hugo, Gambetta, Jaurès.

Alors, monsieur Egomis, je vous repose la question : …… PARDON DE QUOI ?

Ah oui ! …… des crimes !

Là encore, êtes-vous bien sûr de savoir de quoi vous parlez ?
Vous souvient-il de la façon dont débuta la « guerre d’Algérie » le 1er novembre 1954 ? …… par l’assassinat d’un instituteur, Guy Monnerot, dans les gorges de Tighanimine dans les Aurès. C’est glorieux n’est-ce pas ?

Ceux qui prirent la décision de déclencher ce conflit prirent alors TROIS INITIATIVES :

¤ Celle du choix du moment …… un jour de fête religieuse chrétienne,

¤ Celle du choix du théâtre d’action : l’ensemble du territoire des trois DÉPARTEMENTS de notre province algérienne.

¤ Celle du choix des MOYENS ! …… ces gens là choisirent LE TERRORISME, l’ÉGORGEMENT, LES ATTENTATS AVEUGLES, LE PLASTICAGE LÂCHE, LE CRIME GRATUIT, L’ÉMUSCULATION, L’ÉNUCLÉATION, …… etc !

Ils n’épargnèrent d’ailleurs pas les peuplades musulmanes fidèles à la France. Elles constituaient d’ailleurs LA MAJORITÉ DES AUTOCHTONES !

Ø En février 1956, qui choisit finalement la voie de la recherche d’une victoire militaire en Algérie ? Réponse …………. le président du conseil socialiste Guy Mollet.

Ø Qui donna les pleins pouvoirs au général Massu en janvier 1957, pour mener et gagner la bataille d’Alger ? Réponse ………. le gouverneur général socialiste Robert Lacoste.

Nous les avons combattus, en leur empruntant parfois leurs propres méthodes [seul moyen de se faire respecter par cette engeance], …… MAIS SANS JAMAIS LES ÉGALER ! …… Ils furent néanmoins militairement vaincus sur le terrain.

Si De Gaulle n’avait pas été aussi pressé de jeter l’Algérie aux orties en l’abandonnant aux assassins sans foi ni loi du FLN, dépourvus de toute légitimité ainsi que de toute éthique politique et morale, l’indépendance aurait pu s’envisager sous de meilleurs auspices. Beaucoup d’officiers français préparaient les conditions d’un transfert de souveraineté plus serein et plus acceptable pour tout le monde, …… SURTOUT POUR LES ALGÉRIENS ET POUR LES PIEDS NOIRS !……

On sait ce qu’il en fut !

Le FLN ne respecta pas les accords d’Évian. Il « génocida » les harkis, les moghaznis, les tirailleurs ainsi que bon nombre d’Européens qui eurent la faiblesse de croire en leur humanité.
Alors que l’ensemble de la classe politique française cesse de se balader avec sa repentance ridicule en bandoulière, avec des états d’âne [*] qui n’ont pas lieu d’être !

LA France N’A ABSOLUMENT RIEN A SE FAIRE PARDONNER ! …… RIEN !

[*] non, ce n’est pas une faute d’orthographe

Envoyé a FRANCE REVOLUTION par,

RolandDernbach
12 rue des roses

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